L’historique
1918 : La famille Daydé s’installe dans les contrebas de la ville de Lautrec dans une exploitation de polyculture élevage. Les générations s’y sont succédées et y cohabitent depuis plus de 100 ans dans le lieux dit « Les Nauzes ».
1963 : Edmond Daydé, (le père de Daniel Daydé) a introduit la Blonde d’Aquitaine au sein de l’exploitation après des expériences peu convaincantes dans les races Charolaise et Limousine.
Depuis 30 ans, c’est avec la Blonde d’Aquitaine que Nicole et Daniel Daydé ont continué à améliorer la génétique
afin d’augmenter les performances de leur troupeau ainsi que des troupeaux environnants grâce à leurs taureaux.
1970 : premières participation aux concours départementaux et régionaux.
1992 : première participation Concours Général Agricole de Paris.
2006 : Nicolas Daydé (le fils Daniel et Nicole) rejoint l’exploitation agricole.
2015 : 1er prix et Champion Mâle avec GAILLARD au salon international de l’Agriculture de Paris.
2018 : Nicole prend la retraite tout en donnant la main lors des gros chantiers
Reprise en fermage d’une ferme juxtaposé au siège de l’exploitation
2021 : Manu 1er au concours national catégorie mâles adultes
2022 : Manu 3ème au Salon International de l’Agriculture de Paris dans les catégorie mâles adultes et obtention du prix bœuf blond
2022 : Bouchère (Jabelle) présentée et vendue au Leclerc de Saint Pôl de Léon lors de la vente aux enchères du Salon International de l’Agriculture à Paris
Aujourd’hui
Daniel, (Nicole) et Nicolas Daydé travaillent en GAEC sur l’exploitation des Nauzes. C’est une exploitation de polyculture élevage essentiellement tournée vers la vente et la reproduction de bovins allaitants de race Blonde d’Aquitaine.
L’exploitation compte également trois hectares d’Ail rose de Lautrec, une production en IGP et Label Rouge.
Les débouchés économiques
Les vaches de réforme : engraissées sur l’exploitation et valorisées dans une boucherie artisanale locale. En moyenne 35 vaches de réforme par an.
Les reproducteurs : 15 mâles reproducteurs vendus chaque année en France et à l’étranger, ainsi qu’une partie des femelles.
Les broutards : une quarantaine de broutards sont vendus en moyenne chaque année par l’intermédiaire d’un négociant en bestiaux.
L’ail : toute notre production est commercialisée par des grossistes privés et des détaillants.